Remise des attestations de cours de la Croix-Rouge

Chères lauréates, Cher lauréat, Monsieur le Chef de la santé et des affaires sociales de la ville de Neuchâtel, Mesdames les représentantes de la Croix-Rouge, Chères Familles, Auxiliaires de vie ! Mesdames les lauréates, Monsieur le lauréat, vous allez être dès aujourd’hui auxiliaires de vie reconnus et attestés ! Est-ce que ce n’est pas un titre magnifique ? Auxiliaires de vie, vous allez aider à vivre, vous allez être celui et celles sur lesquels de nombreuses personnes âgées, handicapées, malades ou en grande difficulté, vont pouvoir compter pour vivre, pour garder leur autonomie, pour assurer leur indépendance. Vous serez l’accompagnement dans les difficultés, le sourire qui rend la journée plus ensoleillée. Vous serez quelquefois la rencontre unique et indispensable, le contact avec le monde extérieur. Je vous remercie de votre dévouement au service des autres. Je vous en félicite. Je vous en suis reconnaissante, car si l’Etat peut assurer la prise en charge des personnes qui en ont besoin, parfois garantir un financement, il n’aura jamais un aussi beau sourire que vous…. Et c’est sûrement cela qui compte le plus. C’est pour moi un très grand honneur que d’être parmi vous aujourd’hui pour cette première cérémonie de remise d’attestations d’auxiliaire de vie. Mesdames et Monsieur les lauréats, dans quelques instants, vous allez vivre un moment fort,  car le titre que vous allez recevoir, c’est le fruit de vos efforts, de votre persévérance, de votre volonté et de votre enthousiasme. Au nom du Conseil d’Etat, je tiens à vous adresser mes plus vives félicitations. Ce sésame couronne les trois modules que vous avez suivis, celui d’auxiliaire de santé, celui portant sur l’économie et un stage pratique en économie familiale. Au-delà des grandes compétences humaines que vous possédez déjà, vous avez acquis des compétences plus techniques, qui vous permettront de prendre soin des autres, de veiller sur eux, de leur offrir un quotidien soulagé...

Caisse maladie unique

L’augmentation massive des primes que nous avons vécue cette année remet au goût du jour la question de la caisse unique. Les cantons de Neuchâtel et du Jura avaient approuvé ce projet de justesse à l’époque, mais la Suisse alémanique l’avait refusé massivement (71% des votants). Il faut dire qu’à ce moment-là, la Suisse alémanique jouissait de primes très basses, très vraisemblablement trop basses par rapport aux coûts réels, et ne se sentait par conséquent pas très concernée par les tentatives romandes de  faire des économies  dans le secteur de la santé. Aujourd’hui, la remise à niveau des primes en Suisse alémanique relance cette idée qui a des avantages certains en matière d’économies. Il faut dire que la concurrence entre les caisses, qui devrait aboutir à une diminution des primes, a en réalité l’effet inverse : elle coûte très cher ! –         Le nombre élevé de caisses entraîne des dépenses administratives importantes : tout d’abord, il faut parler des économies d’échelle, si on n’avait qu’une caisse. –         Ensuite, que l’on pense seulement aux multiples changements de caisses. Des milliers de personnes changent de caisse chaque année, obligeant les caisses à faire toute s les démarches d’admission et de départ des milliers de fois chaque année. –         Les assurances consacrent beaucoup d’argent à chercher de nouveaux clients, je pense en particulier aux frais de publicité, de démarchage et aux primes des courtiers. Le Conseiller national Ineichen fait la même analyse à ce niveau. –         La caisse unique résoudrait aussi la question de la gestion des réserves et celle de la chasse aux bons risques. –         Elle amènerait certainement un assainissement de ce...

Le public est convié à assister aux états généraux de la santé

Communiqué conviant la population à participer aux états généraux de la santé le 24 octobre 2009 à Cernier

Assurance Invalidité, et après?

Interview pour la vie protestante sur les questions sociales et l’assurance invalidité

Remise des diplômes ARPIH

Allocution à l’occasion de la remise des diplômes de l’ARPIH d’éducatrices et d’éducateurs sociaux, de maîtresses et de maîtres socioprofessionnels à Neuchâtel